C'est sur cette colline dénommée forteresse d'Afrasiab qu' était installée la vieille ville.
De la vieille ville installée sur cette colline "forteresse d'Afrasiab" il ne reste rien après le passage de Gengis Khan.
Le musée d'Afrasiab présente une série de fresques du 7ième siècle représentant le récit épique de la splendeur régnant à la cour.
Musée d'Afrasiab: détail des fresques représentant le récit épique de la splendeur régnant à la cour.
Musée d'Afrasiab: une série de fresques illustrent le cortège des ambassadeurs chinois et coréens venant présenter leur homage au Roi Varkhuman.
Musée d'Afrasiab: des fresques représentant le récit épique de la splendeur régnant à la cour.
Le Gour Emir, mausolée de Tamerlan et de sa famille.
Le Gour Emir, mausolée de Tamerlan et de sa famille.
Le Gour Emir, mausolée de Tamerlan et de sa famille.
Le Gour Emir, mausolée de Tamerlan et de sa famille. Détail d'une des colonnes.
Le Gour Emir, mausolée de Tamerlan et de sa famille.
Le Gour Emir, mausolée de Tamerlan et de sa famille. Dans les niches, des motifs géométriques déploient un ciel étoilé de stalactites de papier maché peint en bleu et or.
Le Gour Emir, mausolée de Tamerlan et de sa famille. Entourée de dalles funéraires en marbre, une plaque de jade de 1,8 mètre , la plus grande du monde, couvre la tombe de Tamerlan.
Le Gour Emir, mausolée de Tamerlan et de sa famille. Vue de l'intérieur.
Le Gour Emir, mausolée de Tamerlan et de sa famille. La hampe garnie de crin marque l'emplacement de la tombe d'un saint homme;
Le Régistan, restauré dans sa splendeur originelle, est le complexe le plus grandiose de l'Asie centrale et l'un des plus beaux de l'islam.
Le Régistan, à gauche la médersa d'Ouloug Beg date de 1420.
Le Régistan, carrefour de la capitale de Tamerlan, où trois médersas se font face.
Le Régistan, au centre la médersa Tillia Kari vint completer l'ensemble en 1660.
Le Régistan - la mosquée dans la médersa Tillia Kari dont l'intérieur resplendit de motifs en feuilles d'or.
Le Régistan - la mosquée dans la médersa Tillia Kari dont l'intérieur resplendit de motifs en feuilles d'or.
Le Régistan - la mosquée dans la médersa Tillia Kari dont l'intérieur resplendit de motifs en feuilles d'or.
Le Régistan - la mosquée dans la médersa Tillia Kari dont l'intérieur resplendit de motifs en feuilles d'or.
Le Régistan, à droite la médersa Chir Dor qui date de 1620 est plus élaborée que la précédente.
Le Régistan, médersa Chir Dor avec ses dômes très travaillés.
Le Régistan, médersa Chir Dor: détail d'une coupole.
Le Régistan, à droite la médersa Chir Dor qui date de 1620 est plus élaborée que la précédente.
Le Régistan, médersa Chir Dor : des lions-tigres poursuivent des biches blanches.
Le Régistan, médersa Chir Dor: vue de l'intérieur
Le Régistan, médersa Chir Dor: détail d'une coupole et d'une colonne en nid d'abeilles.
L'observatoire d'Ouloug Beg, petit-fils de Tamerlan.
Un sextant dans l'observatoire d'Ouloug Beg, petit-fils de Tamerlan.
Nécropole Chah-i-Zinda, site le plus sacré de Samarcande
Nécropole Chah-i-Zinda, ici sont concentrées toutes les expériences architecturales des 14ème et 15ème siècles.
Nécropole Chah-i-Zinda, apothéose de l'art de la céramique.
Nécropole Chah-i-Zinda, apothéose de l'art de la céramique.
Nécropole Chah-i-Zinda, apothéose de l'art de la céramique.
Nécropole Chah-i-Zinda, apothéose de l'art de la céramique.
Nécropole Chah-i-Zinda
Nécropole Chah-i-Zinda
Nécropole Chah-i-Zinda, ici sont concentrées toutes les expériences architecturales des 14ème et 15ème siècles.
Nécropole Chah-i-Zinda, apothéose de l'art de la céramique.
Nécropole Chah-i-Zinda
La nécropole Chah-i-Zinda renferme plusieurs tombes de proches de Tamerlan.
Nécropole Chah-i-Zinda, avec à droite le mausolée octogonal.
Médersa Nadir Divanbagi
Médersa Nadir Divanbagi
Mosquée Khodja Akar avec ses quatre salles de prières pour chaque saison.
Mosquée Khodja Akar avec ses quatre salles de prières pour chaque saison.
Mausolée Al Boukhari, date du 19ème siècle.
Mausolée Al Boukhari, date du 19ème siècle.
Mausolée Al Boukhari, date du 19ème siècle.
