La colonne vertébrale de l'Equateur est constituée par deux cordillères dans l'axe Nord -Sud. Nous sommes sur la route Panaméricaine surnomée "Avenue des volcans"
Nous sommes sur la route Panaméricaine surnommée "Avenue des volcans"
Entre ces deux chaines de volcans, on se situe à plus de 2.500 mètres d'altitude.
Le site archéologique d'Ingapirca est situé à 3.200 m d'altitude.
C'est l'Inca Huayna Capac qui fit bâtir Ingapirca au 15ème siècle, sur la voie impériale qui reliait Cuzco à Quito.
Des lamas sur le site d'Ingapirca.
Pilaloma est l'endroit où l'on trouve des "collcas", puits de stockage du grain de maïs.
Le temple du Soleil domine le site. Il reste une superbe ellipse en diorite verte. Cette principale construction est un château énigmatique et majestueux de forme elliptique. Mesurant 37m de long sur 13 m de large, et d'une hauteur de 3,50 m
Tombe collective.
Plateformes servant probablement à l'agriculture.
Un des aqueducs du site. Au fil des siècles, l'ancienne cité a été démantelée par les villageois qui réemployèrent les pierres pour bâtir leurs propres maisons.
"Piedra Tacitas", pierres utilisés comme calendrier lunaire par les premiers occupants du site, les Cañars.
Au centre du site, le temple du Soleil de forme elliptique est entouré de terrasses et d'habitations.
A côté du site d'Ingapirca, l'hôtel Posada de Ingapirca dispose de chambres .... glaciales, malgré un feu ouvert
A côté du site d'Ingapirca, l'hôtel dispose de chambres .... glaciales, malgré le feu ouvert ! (impossible à allumer à cause de l'humidité )
Paysage de l'une des cordillères des Andes
Un peiti creux ?
Paysage à 2.600 m d'altitude dans le couloir andin
Au centre de la photo, le "Nariz del Diablo" et sa balafre faite par la voie du chemin de fer
Cultures en damier sur les pentes des volcans.
Gardiennes de troupeaux dans les Andes
La rue principale de San Pedro de Alausi, point de départ du train "Nariz del diablo"
Jusqu'au fond de la vallée "Nariz del Diablo", ce train éffectue une dénivellation de 2.300 m en 60 km.
Notre guide Kurt Pheil sur le quai de la gare
Dans le fond de la vallée "Nariz del Diablo", la voie de chemin de fer dessine ses méandres.
Entre 1860 et 1874, de nombreux plans avaient été réalisés pour la construction de la ligne Quito-Guayaquil, considérée comme la plus difficile du monde. Elle commença enfin en 1899,
Mais le train n'a jamais pu équilibrer son exploitation.
Crise aggravée en 1982, quand la ligne principale fut coupée part un éboulement de terrain à Alausi.
Descente impressionnante !
La pente très raide que le train doit affronter à la descente ne lui permet pas de négocier des virages.
Une astuce de l'ingénierie ferroviaire ....
...... lui fait franchir cette épreuve par un système de zig-zag à flanc de montagne....
.... inversant le sens de la marche à chaque tournant.
On approche du fond de la vallée ...
...où se trouve le terminus actuel avant la prolongation jusqu'à Guayaquil... un jour peut-être !
Descente impressionante au fond de la vallée "Nariz del Diablo".
Encore un zig-zag pour faire demi-tour
Paysages grandioses que ce Nariz del Diablo. (Nez du Diable)
Système de zig-zag pour faire demi-tour.
Paysages grandioses mais déception générale car on ne peut plus voyager sur le toit du train suite à un accident.
Retour vers son point de départ
Retour vers le point de départ,.....la petite ville d'Alausi.
Arrêt en route, première église de l'Equateur
...... pour voir la plus vieille église d'Equateur
Première église de l'Equateur construite en 1534
Première église de l'Equateur construite en 1534
Observons le travail de la noix de Tagua = ivoire végétal. Il s'agit de la graine, de la taille d'une noix, d'une espèce de palmier de la famille des Arecaceae, qui pousse dans les forêts humides tropicales.
Cet artisan utilise une noix d'ivoire végétal pour créer des objets d'art
Essentiellement utilisée comme matière première pour la fabrication de boutons, mais a souffert de l'utilisation du plastique. On en fait beaucoup de souvenirs actuellement.
A partir de 3.500 m., on rencontre des vigognes.
Nous passons à 4.500 m,. La route contourne le volcan Chimborazo, pour se donner une chance de l'apercevoir !
La neige rend notre progression difficile, mais nous devons passer ce col pour redescendre vers Quito.
Le volcan Chimborazo culmine à 6.263 m. C'est le plus haut sommet d'Equateur. Le sommet de cet énorme volcan représente le point le plus éloigné au monde du centre de la terre.
